Le 11 septembre 2001 à 08:46:4 avions détournés:40 000 litres de carburant par avion = une vrais
bombe volante!
3000 victimes
don’t 19 terroristes et 6291 blessés
Les attentats du 11 septembre 2001 (
abréviations : 11/9, 11 Septembre ou 11-Septembre et, en anglais, 9/11 ), le
plus grand attentat terroriste jamais perpétré dans l'Histoire, frappèrent New
York et Washington à l'aide d'avions de ligne détournés, dans la matinée du
jour éponyme.
Le terme regroupe une série d'évènements
synchronisés qui se déroulèrent dans le nord-est des États-Unis d'Amérique :
trois avions commerciaux (sur quatre détournés) furent précipités sur des
immeubles représentatifs de la puissance américaine, économique pour les tours
jumelles du World Trade Center à Manhattan, New York, et militaire pour le le
Pentagone, siège du ministère de la Défense des États-Unis, à Washington. Les
"Twin Towers" s'effondrèrent spectaculairement moins de deux heures
après les impacts, ainsi qu'une troisième tour proche dite WTC7, le Pentagone
fut endommagé.
Les victimes ont été chiffrées
à 2 997 morts et disparus présumés morts,
plusieurs milliers de
personnes blessées et dizaines de milliers d'autres,
notamment parmi les sauveteurs, atteintes de
maladies induites par l'inhalation de poussières toxiques. Si l'on excepte la
sanglante bataille d'Antietam (1862), le 11 septembre 2001 est la journée la
plus meurtrière de l'histoire des États-Unis, dont le territoire avait été
épargné depuis la fin de la guerre de sécession. Souvent comparé à l'agression
japonaise sur Pearl Harbour (7 décembre 1941), l'événement a été plus
meurtrier, et a surtout touché des civils, de surcroît à un centre névralgique
de l'Amérique.
La thèse du complot terroriste islamiste fut
immédiatement présentée par les grands médias et les autorités américaines,
puis soutenue par le rapport de la commission chargée d'enquête (Commission
Kean). Selon cette thèse, les dix-neuf pirates de l'air qui ont effectué ces
attentats-suicides étaient membres d'Al-Qaida. Jamais officiellement
revendiqués, ils ont été condamnés par tous les États de la planète, sauf
l'Irak baasiste.
Evénement sans précédent comparable, les
attentats du 11 septembre ont été vécus presque en temps réel par des centaines
de millions de télespectateurs à travers le monde.
La surprise
et, pour beaucoup, le choc psychologique ont été considérables, notamment en
Amérique et en Occident. Ils ont généré de part le monde des effets puissants
et persistants, notamment politiques, psychologiques et économiques. Le
gouvernement des États-Unis a adopté un comportement sécuritaire. Les étrangers
présents sur le sol américain sont soumis à des mesures de surveillance
spécifiques. Sur le plan de la politique étrangère, les éléments les plus
visibles de la suite donnée par l'administration américaine aux attentats sont
le lancement de la guerre contre le terrorisme (dont la guerre d'Afghanistan en
2001), la dénonciation de l' « Axe du Mal » et, bien qu'aucun lien n'ait été
officiellement établi entre Bagdad et les auteurs de l'attentat, le lancement
de la guerre en Irak en 2003.
Avec leur charge en carburant estimée à 45 000 litres chacun,
les
avions ont été utilisés comme bombes incendiaires volantes. Des quatre avions
détournés, seul le vol UA93 ne put atteindre sa cible, s'étant écrasé dans une
mine à ciel ouvert désaffectée de la Pennsylvanie alors qu'il se dirigeait vers
la capitale.
Selon le rapport officiel, quelques passagers et
membres d'équipage ont pu passer des appels téléphoniques mentionnant la
présence de pirates de l'air armés de cutters, qu'ils ont utilisés pour menacer
ou tuer du personnel navigant et des passagers lors de la prise de contrôle de
l'avion. La commission nationale sur les attaques terroristes contre les
États-Unis, n'a pu seulement établir que deux des pirates de l'air avaient
récemment acheté des couteaux suisses Leatherman[2]. Des menaces de bombe ont
été faites sur trois des avions (pas sur l'American 77).
Le première
avion : décollé à 07 :59
impact 08 :46 WTC tour nord
Le deuxième
avion : décollé à 08 :45
impact à 09 :02 WTC tour sud
Le troisième
avion : décollé à 08 :20 impact à 09 :37 Pentagon
Le quatrième
avion : décollé à 08 :42
impact au sol (cible râté) 10 :03
entre Washington et Newyork à Shanksville en Pensylvanie sur une mine à
ciel ouvert.
Selon l'étude du NTSB de l'hiver 2001-2002,
rendue
publique en août 2006, les vols UA175 et AA11 étaient programmés pour décoller
à une minute d'intervalle, mais le premier quitta le sol avec 16 min de retard
et atteignit sa cible très exactement 16 min après que AA11 ait frappé la tour
Nord, la durée de vol ayant été de 49 min (48 min pour AA11).
Ces parcours ne correspondent pas à une minimisation du temps d'exposition à la réaction de la défense aérienne : après la prise de contrôle par les kamikazes, le vol 11 fut maintenu 13 min durant dans une direction (le Nord-Ouest) qui l'éloignait de son objectif. Ce choix apparamment aberrant se retrouve pour le vol 175 avec son large détour au dessus du New-Jersey pour revenir sur Manhattan par le Sud.
Ces parcours ne correspondent pas à une minimisation du temps d'exposition à la réaction de la défense aérienne : après la prise de contrôle par les kamikazes, le vol 11 fut maintenu 13 min durant dans une direction (le Nord-Ouest) qui l'éloignait de son objectif. Ce choix apparamment aberrant se retrouve pour le vol 175 avec son large détour au dessus du New-Jersey pour revenir sur Manhattan par le Sud.
La même remarque doit être faite pour les vols
AA77 et UA93 : le caractère tardif de la prise de contrôle des avions (après 26
et 45 min) résultait en un éloignement important de leur cible, accroissant
d'autant les facultés d'intervention de la défense aérienne.
Les procédures qui règlent la coordination entre
la l'aviation civile et la défense aérienne, en place depuis les années 60,
fonctionnaient de manière satisfaisante (67 sorties entre septembre 2000 et mai
2001). Elles furent cependant modifiées début juin 2001 en privant les
commandants de bases de leur autonomie de décision, les plaçant en dépendance
du Secrétaire à la défense (Donald Rumsfeld, au Pentagone). Le NORAD disposait
ce jour-là pour la côte est de huit chasseurs armés et prêts à décoller.
Les espaces de temps offerts par les
détournements furent conséquents : prenant comme signal d'alarme le
radio-mutisme du vol AA11 (8h14),
à
l'instant des impacts successifs, 33, 49, 83 et 112 minutes se sont écoulées.
Aucun des avions de chasse ayant été mis en
oeuvre n'a été capable d'interférer avec les vols piratés.
le NORAD
a soutenu que cette faillite majeure du système de protection de l'espace
aérien était due aux délais pris pour transmettre les incidents de vol (24 et
39 minutes pour les vols AA11 et AA77) ou leur non transmission.
Reprenant les données du NORAD, la commission
Kean exposa que les militaires auraient été avertis quelques minutes seulement
avant les impacts des vols AA11 et AA77,
et après
les impacts pour les autres. Cependant, les choix opérés par le NORAD
suscitèrent des interrogations.
Selon la déposition du 13 septembre du général
Myers, confirmée par la conférence de presse du vice-président Dick Cheney du
16,
aucun avion de chasse aurait été mis en oeuvre
avant l'impact du vol AA77 contre le Pentagone.
La chronologie du NORAD, publiée le 18,
indiquait que des chasseurs avaient décollé à 8h44 et 9h30. Selon la commission
Kean, les premiers chasseurs décollèrent à 8h52, 38 minutes après le
détournement du vol AA11.
Ces
chasseurs ne furent pas commandités à une base proche de New-York comme
Atlantic City, à 90 km au Sud-Ouest, mais à celle d'Otis, proche de Boston,
éloignée de 240 km. Après avoir volé au quart de leur vitesse maximale, ils se
trouvaient à 114 km de New-York lorsque le vol UA175 percutait la tour Sud.
Après avoir atteint New-York à 9h11,
ils
furent affectés à patrouiller l'espace aérien new-yorkais.
Pendant
ce temps, le NORAD faisait décoller d'autres chasseurs de la base de Langley,
située 210 km au sud de Washington au lieu de celle d'Andrews, à 15 km de la
capitale, laquelle maintenait deux escadrons de chasseurs en alerte permanente.
Pour cette raison, et par le fait qu'ils volèrent à 35% de leur capacité, ils
arrivèrent au Pentagone 12 minutes après l'impact du vol AA77.
Malgré le fait que le non respect des procédures
d'alerte fut ainsi pointé du doigt, aucun responsable de la FAA ne fut
sanctionné. Le fiasco organisationnel du NORAD n'empêcha pas non plus les hauts
responsables d'être confirmés dans leurs fonctions ou promus.
Il y a des précédents sur de telles failles de
la défense aérienne de diverses nations, ainsi en mai 1989, avant la chute du
mur de Berlin, un MiG-23 de la Voénno Vozdouchnyé Sily Soviétique, dont le
pilote s'était éjecté en Pologne, s'écrasa en Belgique, deux F-15 de l'USAFE ne
l'interceptirent que 21 minutes aprés que la frontiére interallemande fut
franchi alors que celle-ci était la plus surveillée et militarisée de l'époque
WTC1
À 8 h 46 (heure locale) (UTC 12 h 46 ), le vol
AA11 percutait quasi perpendiculairement en son centre la face nord-est de la
tour jumelle Nord[5], son angle de gîte (22°) résultant en une emprise sur
quatre étages (94 à 97). Animé d'une vitesse estimée à 750 km/h, l'avion
laissait dans la façade son empreinte partielle (35 m pour 47 m d'envergure),
les extrémités des aîles n'occasionnant que des dommages superficiels. Les
dommages occasionnés à la structure externe ont été chiffrés à 36 poutres
sectionnées (13 en moyenne par étage atteint, soit 5% du pourtour). Les
dommages sur la structure centrale restent inconnus.
Schéma montrant à quels étages les avions ont percuté les tours jumelles du World Trade Center.
Schéma montrant à quels étages les avions ont percuté les tours jumelles du World Trade Center.
Schéma montrant à quels étages les avions ont percuté les tours jumelles du World Trade Center.
Schéma montrant à quels étages les avions ont percuté les tours jumelles du World Trade Center.
Seule une petite partie de train d'atterrissage
ressortit par la face opposée, après avoir perdu 95% de son énergie, et sera
retrouvée à un coin de rue, quelques 385 mètres plus loin[6]. Le FBI affirmera
avoir retrouvé à proximité le passeport intact de l'un des kamikazes. Avec tous
les ascenseurs en panne et les escaliers rendus impraticables, les personnes
situées au-dessus des étages atteints furent piégées et enfumées.
WTC2
À 9 h 03, le vol UA175 pénétrait de biais la
face sud-ouest de la tour Sud, à quelques 7 mètres de son centre. L'évènement a
pu être largement enregistré par les télédiffuseurs qui couvraient l'attentat
contre la tour Nord.
La vitesse estimée de l'avion, 940 km/h, lui
accordait environ 60% de plus d'énergie que le vol 11. Mais, frappant la tour
entre les étages 79 et 81, il laissait une empreinte moindre (26 m d'envergure)
malgré un angle de gîte plus important (31°) car à ce niveau la structure
extérieure était (deux fois) plus résistante qu'aux étages supérieurs.
L'angulation de la direction de vol a fait que la carlingue et la moitié
tribord de l'appareil ne pouvaient pas rencontrer la structure interne des
poteaux porteurs, permettant ainsi à un moteur, un train d'atterrissage et un
morceau de carlingue de ressortir par l'angle est du bâtiment et d'être
retrouvés jusqu'à 400 m de distance. L'avion sectionna 23 colonnes de la
structure externe (8 par étage en moyenne, soit 3% du pourtour), dommages
auxquels il faut ajouter ceux réalisés dans l'angle oriental par la sortie du
moteur et du train droits. Les dommages subis par la structure centrale sont
inconnus, mais bien moindres que ceux de la tour Nord, raison pour laquelle les
ascenceurs ont fonctionné durant un quart d'heure (jusqu'à 9h03).
Le Pentagone
À 9 h 37, Le vol 77 American Airlines explosait
en pénétrant la façade occidentale du Pentagone, 51 mn après avoir été détourné
de sa route.
WTC1
Instantanément libéré, le kérosène explosa en
une boule de feu qui se répandit dans les étages touchés ainsi que la cage
centrale des services, le souffle atteignant le rez-de-chaussée. Cette
combustion immédiate fit naître un ensemble de feux qui allaient se déplacer au
fur et à mesure de l'épuisement des combustibles (les flammes devenant de moins
en moins visibles) et sans doute de l'embrasement de nouveaux matériaux. Elle
allait rapidement subir une pénurie d'oxygène , l'air des étages atteints ayant
été largement épuisé par la combustion du kérosène (au bout d'un quart d'heure,
les fumées étaient devenues noires).
WTC2
L'inclinaison de l'impact fit que le kérosène de
l'aîle droite ressortit par les façades en trois énormes boules de feu. Il s'en
suivit que l'incendie subséquent fut bien moindre que pour la tour Nord et
resta très localisé. Au moment de l'effondrement, les feux donnaient des
indications d'étouffement, seule une fumée noire étant visible qui s'échappait
du bâtiment. L'équipe de pompiers qui était arrivée au 78èmeétage avait signalé
la persistance de deux feux et demandé l'envoi de lances pour les éteindre.
Quelques minutes plus tard, la tour s'effondrait avant que put être transmis
l'ordre d'évacuation émis par le poste de commandement des urgences situé dans
le WTC7.
Bilan humain et matériel
Nombre de victimes lors de la journée du 11 septembre World Trade Center Tours 2 595, dont 343 sapeurs-pompiers de New York, 23 officiers de police du NYPD, 37 officiers de la police du port
Vol AA11 92 passagers, membres d'équipage et terroristes
Vol UA175 65 passagers, membres d'équipage et terroristes
Pentagone Bâtiment 125 civils et militaires
Vol AA77 64 passagers, membres d'équipage et terroristes
Shanksville Vol UA93 45 passagers, membres d'équipage et terroristes
Total 2 986
Nombre de victimes lors de la journée du 11 septembre World Trade Center Tours 2 595, dont 343 sapeurs-pompiers de New York, 23 officiers de police du NYPD, 37 officiers de la police du port
Vol AA11 92 passagers, membres d'équipage et terroristes
Vol UA175 65 passagers, membres d'équipage et terroristes
Pentagone Bâtiment 125 civils et militaires
Vol AA77 64 passagers, membres d'équipage et terroristes
Shanksville Vol UA93 45 passagers, membres d'équipage et terroristes
Total 2 986
Au moins 2 986 personnes ont donc été tuées.
Au World Trade Center,
confrontées à une situation désespérée due à la fumée et la chaleur de la
combustion du carburant des avions, environ deux cents personnes ont sauté des
tours en feu vers la mort, s'écrasant dans les rues et sur les toits des bâtiments
adjacents (une réaction semblable a pu être observée lors de l'incendie de
l'usine Triangle Shirtwaist de 1911). En outre, certains des occupants de
chaque tour située au-dessus du point d'impact ont tenté d'atteindre le toit
dans l'espoir d'un sauvetage par hélicoptère. Aucun plan de sauvetage n'a
existé pour une telle éventualité. Les occupants en fuite vers le toit se sont
heurtés à des portes d'accès verrouillées.
* Près de 1 366 personnes ont
été bloquées au-dessus et au niveau de l'impact dans la tour Nord (WTC 1).
Aucune d'elles n'a survécu.
* Près de 600 personnes ont été bloquées au-dessus et au niveau de l'impact dans la tour Sud (WTC 2). Dix-huit seulement sont parvenues à s'échapper à temps du dessus de la zone d'impact et à sortir de la tour Sud avant que celle-ci ne s'effondre.
* Près de 600 personnes ont été bloquées au-dessus et au niveau de l'impact dans la tour Sud (WTC 2). Dix-huit seulement sont parvenues à s'échapper à temps du dessus de la zone d'impact et à sortir de la tour Sud avant que celle-ci ne s'effondre.
Selon l'« Associated Press »
(AP), la ville a identifié plus de 1 600 corps, mais ne pouvait identifier le
reste des corps (environ 1 100 personnes). L'agence de presse rapporte que la
ville a « environ dix mille fragments non identifiés d'os et de tissus qui ne
peuvent pas être assortis à la liste des morts ».
Dans le New Jersey et le
Connecticut, des écoles publiques ont été évacuées. Les écoles de Scarsdale,
New York ont été fermées pour la journée. À Greenwich, Connecticut, située à
environ 24 kilomètres au nord de la ville, des centaines d'étudiants avaient
des liens directs avec les victimes des attentats. Les villes de Greenwich,
Connecticut et New Canaan, Connecticut, deux des villes les plus riches du
monde, ont eu plus de résidents tués que n'importe quelle autre ville dans le
secteur de la métropole de New York. Quand les banlieues autour de la ville de
New York ont appris la destruction si proche de leur maison, beaucoup d'écoles
ont été fermées pour la journée, évacuées ou verrouillées. D'autres secteurs
scolaires ont protégé les étudiants des images télévisuelles car plusieurs de
leurs parents travaillaient dans le World Trade Center.
Subséquemment à l'effondrement
des tours jumelles du World Trade Center, quatre autres bâtiments sur le site
du WTC et quatre stations de métro ont été détruits ou très endommagés. Au
total, sur l'île de Manhattan, vingt-cinq bâtiments ont été endommagés.
Peu d'évènements terroristes auront reçu
pareille couverture médiatique (même si l'on pense aux otages israéliens du massacre
des jeux Olympiques de Munich). Le lieu (une des villes les
plus connues au monde et siège de nombreuses agences de presse et de télévision), la séquence
des évènements (les journalistes se sont immédiatement précipités sur les lieux
dès le premier avion et les hélicoptères survolant la ville) ont mené à une
médiatisation considérable et à l'observation en direct du crash du second
avion, puis de l'effondrement des tours. Pendant une demi-journée, toute
l'attention de centaines de millions de personnes a été tournée vers le
nord-est des États-Unis.
Par ailleurs, les attentats du
11 septembre constituent un « coup de tonnerre dans un ciel bleu » pour les
Américains. Après des décennies où le peuple américain s'est essentiellement
considéré comme relativement préservé du terrorisme international (même si
certains attentats ont touché le pays, dont un précédent contre l'une des tours
du World Trade Center en 1993 et celui de la ville d'Oklahoma City deux ans
plus tard (mais celui-ci ayant pour origine l'extrême droite américaine), et
d'autres sur les ambassades à l'étranger (attentats contre les ambassades
américaines du Kenya et de la Tanzanie en 1998) et des installations
militaires, ils étaient rares.
Les attaques terroristes ont
été dénoncées par les médias internationaux et les gouvernements comme une
agression perpétrée par des fondamentalistes musulmans. Certains commentateurs
ont comparé cet évènement à l'attaque sur Pearl Harbor par les Japonais le 7
décembre 1941. La comparaison est fortement validée par ce sentiment lui-même,
même si la différence entre l'agression militaire par une nation (en faisant
abstraction de la séquence des évènements qui a beaucoup joué dans la
perception de traîtrises) et l'attentat commis par des individus
essentiellement invisibles a été avancée par certains observateurs.
Le lendemain des attentats, le
conseil de sécurité de l'ONU adopte la résolution 1368[7], proposée par la
France, condamnant ces actes terroristes. En voici des extraits :
1. Condamne catégoriquement
dans les termes les plus forts les épouvantables attaques terroristes qui ont
eu lieu le 11 septembre 2001 à New York, Washington (DC) et en Pennsylvanie et
considère de tels actes, comme tout acte de terrorisme international, comme une
menace à la paix et à la sécurité internationales;
2. Exprime ses plus profondes
sympathies et condoléances aux victimes et à leurs familles ainsi qu'au peuple
et au gouvernement des États-Unis d'Amérique.
Identité des dix-neuf terroristes responsables
des attentats :
American Airline 11
|
United Airline 175
|
Americain Airline 77
|
United Airline 93
|
Mohammed
Atta
|
Marwan
al-Shehhi
|
Hani
Hanjour
|
Ziad
Jarrah
|
Waleed
al-Shehri
|
Mohand
al-Shehri
|
Nawaf
al-Hazmi
|
Saeed
al-Ghamdi
|
Wail
al-Shehri
|
Fayez
Banihammad
|
Salem
al-Hazmi
|
Ahmed
al-Haznawi
|
Satam
al-Suqami
|
Ahmed
al-Ghamdi
|
Khalid
al-Mihdhar
|
Ahmed
al-Nami
|
Abdulaziz
al-Omari
|
Hamza
al-Ghamdi
|
Majed
Moqed
|
|
Les nationalités sont les suivantes : un
Libanais, deux provenant des Émirats arabes unis ; Mohammed Atta était de
nationalité égyptienne. Tous les autres étaient saoudiens.
* Le rapport de la commission 9/11 désigne
Khalid Cheikh Mohammed, capturé en 2003, comme le cerveau opérationnel des
attentats. Il précise en outre que, parmi les 27 terroristes infiltrés sur le
territoire des États-Unis en tant que cellule dormante dans le cadre de la
planification des attentats, un vingtième pirate de l'air aurait été retiré de
l'opération au dernier moment.
* Le vingtième pirate de l'air
o Tawfiq bin Attash, dit « Khallad » (article) ;
o Khalid al-Mihdhar (translittération : Almihdhar) (article) ;
o Zacarias Moussaoui ;
o Ali Abdul Aziz Ali, cité lors du procès de Zacarias Moussaoui (article) ;
o Ramzi Binalshibh, cité lors du procès de Zacarias Moussaoui (article)
o Zakariya Essabar, identifié également par le contre-espionnage en Allemagne (article) ;
o Mushabib al-Hamlan (article)
o Tawfiq bin Attash, dit « Khallad » (article) ;
o Khalid al-Mihdhar (translittération : Almihdhar) (article) ;
o Zacarias Moussaoui ;
o Ali Abdul Aziz Ali, cité lors du procès de Zacarias Moussaoui (article) ;
o Ramzi Binalshibh, cité lors du procès de Zacarias Moussaoui (article)
o Zakariya Essabar, identifié également par le contre-espionnage en Allemagne (article) ;
o Mushabib al-Hamlan (article)
Ben Laden a, dans un premier temps, nié la
responsabilité de ces attentats, mais aurait revendiqué sa responsabilité
directe dans l'orchestration de ces attaques dans un enregistrement vidéo
affirmé authentique par la CIA.
Cette attaque fut le jour même attribuée par les
autorités américaines, suivies par l'ensemble des médias et la quasi totalité
des gouvernements étrangers, au réseau terroriste Al-Qaïda dirigé et financé
par Oussama Ben Laden. Cette organisation a été créée par le milliardaire
Oussama Ben Laden, lequel avait été recruté avec d'autres par la CIA durant la
guerre froide pour alimenter la résistance moudjahiddin contre l'Union
soviétique (première guerre d'Afghanistan).
On pense que l'opération Bojinka, une tentative
déjouée en 1995 de destruction simultanée de plusieurs avions de lignes aux
Philippines, fut le précurseur de cette vague d'attentats multiples.
Aussi, en 1994, le détournement du vol AF 8969
aurait, selon certaines sources et certains rapports de services français, eu
pour vocation de s'écraser sur la tour Eiffel. Circulaient alors, à l'époque,
des tracts d'une tour Eiffel disloquée, formant les lettres GIA (Groupe
islamique armé). Les objectifs de ces deux exemples présenteraient ainsi des
similitudes avec l'opération terroriste du 11 septembre 2001.
D'après des documents vidéo saisis lors de la
seconde guerre d'Afghanistan — guerre menée en 2001 en réaction aux attentats,
contre Al-Qaïda et ses alliés les Talibans (dirigeants du pays suite à un coup
d'État en 1996) —, Oussama Ben Laden indiquait que l'opération avait réussi
au-delà de ses espérances.
Le jeudi 24 juillet 2003, le Congrès américain
publie le rapport de la commission spéciale d'enquête sur les attentats du 11
septembre 2001. Ce rapport aurait été expurgé de vingt-huit pages dans
lesquelles, d'après un sénateur, seraient mis en cause certains hauts
ressortissants saoudiens.
Une association créée par les familles des
victimes et accompagnée de diplomates et historiens accuse les sénateurs qui
ont rédigé ce rapport de masquer la vérité et de cacher des preuves qui
impliqueraient des personnalités saoudiennes haut placées.
Cinq ans plus tard cependant, le FBI, par manque
de preuve, se trouvait toujours dans l'incapacité d'attribuer officiellement
ces attentats à la nébuleuse de Ben Laden[8].
Depuis les attentats, une foule de thèses ont
été formulées, qui ont en commun de réfuter en certains de ses aspects la
version dite officielle des évènements. Nombre de ces thèses affirment
l'implication passive ou active du gouvernement américain. Ces théories tentent
de démontrer que la version "officielle" ne permet pas d'expliquer
les évènements du 11 septembre 2001.
Pour les défenseurs de ces théories, les
attentats auraient permis à l'administration Bush de modifier radicalement les
politiques intérieure et extérieure des États-Unis d'Amérique, notamment par
les dispositions législatives du Homeland Security Act et des Patriot Act 1 et
2, ainsi que par les invasions militaires de l'Afghanistan et de l'Irak qui
s'en sont suivi.
Ces théories sont rarement évoquées par les
médias traditionnels (audiovisuel et presse écrite).
L'émoi provoqué par les attentats a produit des
réactions de tous ordres :
* réactions de compassion provenant d'une grande
partie du monde, intellectuels, penseurs, artistes, hommes et femmes de gauche
comme de droite, à l'exception des partis situés aux extrêmes de l'échiquier
politique
* réactions d'inquiétude : le chancelier allemand Gerhard Schröder déclare après les attentats : « Ce n'est pas là une bataille entre les civilisations, c'est une bataille pour la civilisation. »
* réactions beaucoup moins empathiques d'une partie de la population mondiale, notamment chez d'autres penseurs et intellectuels, ou partisans de l'extrême gauche et de l'extrême droite ; en France, les délégués et militants de la CGT présents à la fête de l’Humanité des 15-16 septembre 2001 refusèrent de s’associer aux trois minutes de silence en hommage aux victimes.
* réactions partagées de personnes qui observent que les quelques trois mille victimes aux États-Unis qui, selon eux, méritent leur respect, ont cependant un impact médiatique sans commune mesure avec celle des victimes de terrorisme en Afrique ou ailleurs, et notamment celles du génocide au Rwanda pour lesquels un million de morts n'a jamais provoqué de telles manifestations ;
* réactions de joie d'une partie de la population mondiale allant jusqu'à la proclamation d'une victoire contre l'impérialisme américain par certains groupes ou certaines populations, notamment dans de nombreux pays musulmans mais également en Amérique latine et Asie du Sud-Est ainsi que dans certaines communautées immigrées (Grande Bretagne, France...) ;
* déclaration de la guerre contre le terrorisme proclamée par le Sénat américain, et promulgation du Patriot Act : durcissement des législations notamment contre le crime organisé, réductions des libertés individuelles, intensification des contrôles aux aéroports, accélération des mesures de filtrage aux frontières — y compris par des documents plus sécuritaires et de la surveillance de certains comptes bancaires. Des actions ciblées contre des individus ou des groupes recherchés pour terrorisme ont lieu dans divers pays ;
* de nombreux pays ont également renforcé leurs mesures de sécurité, comme par exemple la France qui a augmenté le niveau d'alerte de son plan vigipirate.
* réactions d'inquiétude : le chancelier allemand Gerhard Schröder déclare après les attentats : « Ce n'est pas là une bataille entre les civilisations, c'est une bataille pour la civilisation. »
* réactions beaucoup moins empathiques d'une partie de la population mondiale, notamment chez d'autres penseurs et intellectuels, ou partisans de l'extrême gauche et de l'extrême droite ; en France, les délégués et militants de la CGT présents à la fête de l’Humanité des 15-16 septembre 2001 refusèrent de s’associer aux trois minutes de silence en hommage aux victimes.
* réactions partagées de personnes qui observent que les quelques trois mille victimes aux États-Unis qui, selon eux, méritent leur respect, ont cependant un impact médiatique sans commune mesure avec celle des victimes de terrorisme en Afrique ou ailleurs, et notamment celles du génocide au Rwanda pour lesquels un million de morts n'a jamais provoqué de telles manifestations ;
* réactions de joie d'une partie de la population mondiale allant jusqu'à la proclamation d'une victoire contre l'impérialisme américain par certains groupes ou certaines populations, notamment dans de nombreux pays musulmans mais également en Amérique latine et Asie du Sud-Est ainsi que dans certaines communautées immigrées (Grande Bretagne, France...) ;
* déclaration de la guerre contre le terrorisme proclamée par le Sénat américain, et promulgation du Patriot Act : durcissement des législations notamment contre le crime organisé, réductions des libertés individuelles, intensification des contrôles aux aéroports, accélération des mesures de filtrage aux frontières — y compris par des documents plus sécuritaires et de la surveillance de certains comptes bancaires. Des actions ciblées contre des individus ou des groupes recherchés pour terrorisme ont lieu dans divers pays ;
* de nombreux pays ont également renforcé leurs mesures de sécurité, comme par exemple la France qui a augmenté le niveau d'alerte de son plan vigipirate.
L'impact militaire le plus direct est l'invasion
de l'Afghanistan,
désigné comme le siège opérationnel d'Al-Qaïda,
dès le mois d'octobre 2001 et le renversement du régime des Talibans quelques
mois plus tard par les forces armées américaines, britanniques, françaises, et
autres. Ce renversement et l'établissement d'un gouvernement de transition
s'accompagne de l'arrestation de nombreux musulmans présumés terroristes, dans
des camps disséminés autour de la planète, ce qui provoquera les vives
réactions de nombreuses ONG, dont Amnesty International. La création de la
prison de Guantanamo s'explique en partie par cet afflux important de
prisonniers.
Un second impact militaire d'importance est
l'invasion de l'Iraq et le renversement du régime de Saddam Hussein en 2003 par
les forces armées américaines et britanniques. Bien que l'Iraq de Saddam
Hussein n'ait pas participé aux attentats du 11 septembre, le régime baasiste a
été désigné par l'administration américaine comme un soutien actif du
terrorisme international et un détenteur d'armes de destruction massive, malgré
l'absence de preuves sur le terrain. Le régime de Saddam Hussein a été remplacé
par un régime plus démocratique, notamment par la tenue d'élections et une
représentation de la majorité chiites par rapport aux sunnites. L'invasion de
l'Iraq provoquera de houleux débats à l'ONU et des manifestations à travers le
monde, protestant contre les véritables raisons qui seraient d'ordre économique
et stratégique (indépendance énergétique vis-à-vis de l'Arabie saoudite
notamment) plutôt que pour libérer le peuple iraquien.
Aux États-Unis, la seule personne à avoir été
jugée jusqu'a présent pour son implication présumée avec les attentats du 11
septembre est le Français Zacarias Moussaoui. Arrêté moins d'un mois avant les
attaques, il était accusé par les autorités fédérales américaines d'avoir eu
connaissance des attentats à venir mais de n'avoir pas communiqué ses
informations. Le 3 mai 2006, au terme de deux mois de procès, il a été reconnu
coupable par le jury du tribunal fédéral d'Alexandria en Virginie de six chefs
d'accusation de complot en liaison avec les attentats terroristes du 11
septembre et condamné à la prison à perpétuité, sans possibilité de remise de
peine.
Khalid Cheikh Mohammed et Ramzi ben Al-Shaiba soupçonnés
d’être les organisateurs des attentats sont en détention à Guantanamo depuis
septembre 2006. En mars 2007, ils passent devant une commission militaire
chargée de déterminer leur statut [11]. Ils avaient revendiqué l'organisation
logistique des attentats en juin 2002 sur un entretien diffusé à la télévision
qatarie Al-Jezira,
La plupart des analystes économiques considèrent
que les attentats du 11 septembre ont été à l'origine d'un ralentissement
économique significatif (ou de l'amplification du freinage important qui avait
été amorcé par l'éclatement de la bulle spéculative en l'an 2000).
L'effet durable sur le monde ne peut pas être
encore mesuré pour savoir si ce fut un catalyseur (du sens de l'Histoire) ou un
changement. Les médias de masse maintiennent une pression vers l'inquiétude et
la paranoïa.
Selon le « World Economic Report » du Fonds
monétaire international de décembre 2001,
l'US
National Income and Products Accounts
évalue
les destructions et les dépenses qui leur sont directement liées, après le 11
septembre, à 24,1 milliards de dollars US.
Près d'une centaine de milliers de New-Yorkais
se sont retrouvés au chômage et des milliers d'entreprises (particulièrement
dans le secteur tertiaire) ont disparu ou subi des pertes considérables suite à
la destruction de ce centre d'affaires, qui était l'un des plus actifs de la
planète.
Les compagnies aériennes mondiales, surtout
celles des États-Unis, déjà en difficultés depuis quelques années, ont
largement souffert de la chute de fréquentation de leurs lignes et des travaux
de sécurité entrepris après ce quadruple détournement, malgré les aides des
pouvoirs publics. Les primes d'assurance des immeubles et celle des avions de
ligne ont fortement augmenté.
Près
de 3 000 personnes ont perdu la vie le 11 septembre 2001 au World Trade Center;
pourtant, la grande majorité des personnes qui pouvaient évacuer les lieux ont
réussi à le faire. « Quand vous considérez le nombre de morts, il semble
tout à fait incroyable d'affirmer que la procédure d'évacuation s'est avérée un
succès »,
Le
11 septembre, seulement le quart des travailleurs du World Trade Center se
trouvaient à l'intérieur des tours au moment des collisions.
« C'était
un jour d'élection dans la ville de New York. Il s'agissait de la première
journée des écoles primaires; beaucoup de parents étaient avec leurs enfants.
En outre, bien des gens commençaient à
travailler à 9 h 30 puisque les activités de la bourse ne débutaient pas avant
10 h 00. Il n'y avait aucune raison d'arriver au travail à l'avance »,
relate Guylène Proulx.
« Quand
l'un des appareils a percuté la première tour, la plupart des occupants ont
senti l'immeuble trembler »,
Après
la tragédie, la majorité des victimes se trouvaient sur les étages au-dessus
des points d'impact. « Dès le début, rien n'aurait pu sauver ces
personnes
Environ
500 sauveteurs ont également perdu la vie. Sous les points d'impact,
76
civils sont décédés.
Un
grand nombre de ces personnes se trouvaient dans des ascenseurs au moment des
collisions .
Étonnamment,
la quasi-totalité des personnes handicapées ont été évacuées.
En résumé :
En 2004 la commission à
remis sont rapport…4 ans après !!
Le building World trade center
n°7:
A 17:20 heure bien après que les
twin towers se soient effondrées la tour »WORLD TRADE CENTER 7 » a
implosé à la verticale.
Exactement comme les démolitions contrôlées !!!!
Pourtant aucun avion n’a touché
cette tour qui ce trouve à 100 mètres des twin towers.
Ø CE FAIT EST ABSENT DANS
LE RAPPORT D’ENQUÊTE.
REMARQUE : pour qu’elle raison cet élément important
a-t-il été sous médiatisé ou brièvement mentionné.
L’attentat sur le
Pentagone :
Il n’y ont pas trouvé de débris d’avions,pas de
fuselage,pas de moteur,pas de corps.
Comme explication officielle selon la commission :
La combstion du kérosène à tout carbonisé au point de
tout faire disparaître !!!
Après une polémique sur le fait qu’il n’y ait pas ue
d’avion au Pentagone !!!!
L’effondrement des twins :
D’après le rapport de la commission les étages se sont
affaissé les uns sur les autres,cette théorie ne tient pas, la chute aurait du
être ralentit au fur et mesure si cela avait été le cas.
Les
tours sont tombés quasiment à la vitesse de la chute libre,normalement il y
aurait du rester les 4 pilliers centraux en acier !!
CONCLUSION : cet effondrement est impossible sans
l’aide d’explosifs.
Pendant que les tours s’effondraient il y avait dans les
étages inférieurs des projections à l’extérieur qui sont bien le signe qu’il y
avait des explosifs.
LARRY SILVERSTEIN : le propriétaire du WTC depuis
Juillet 2001,il signe un bail de 99 ans et souscrit une assurance contre
terrorisme :
Après le
11 septembre il se fait indemnisé puis il traîne en Justice son assureur avec
comme argument qu’il n’y a pas ue une attaque terroriste mais deux : de ce
fait il réclame donc le double et il a eu gain de cause = 4,6 milliards de
dollars.
Le NORAD
s’occupes du contrôle de l’espace aérien des états unis.
Le système est régulièrement entrainé par simulations et
ils savent intercepté en 67 avions en 15 minutes….le 11 septembre comme par
hasard le système a faillit à leur mission 4 fois !!!
Tout
cela laisse croîre à tous sauf à du hasard !!!!!
En Juillet 2013
Le projet de reconstruction
du World Trade Center
démarre peu de temps après les attentats du 11 septembre 2001 quand le maire de New York Rudy Giuliani, le gouverneur du New Jersey George Pataki, et le président américain George W. Bush promettent de reconstruire le World Trade Center.
Situé
sur le site de lower Manhattan
Architecte : Minoru Yamasaki
Nettoyage
du site : septembre 2001 à 2006
Reconstruction :
2006 à 2013
Hauteur
total : 541,3 m le toit : 417
m
108
étages
4
sous-sols
Superfiçie : 1 382 230 m2
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